Les lieder du climat

En frottant sur une toile tendue, les palles reproduisent le vent

Nous l’avons bien compris : le climat se dérègle. Pluies, vent, orages et chaleur étouffante agrémenteront les prochaines décennies.

La météo a toujours inspiré les compositeurs. Les Quatre saisons de Vivaldi !

Mais concrètement, comment l’illustrer en musique ? Pas facile ! L’ouïe doit reconnaître le vent, la tempête et quelques fois, le soleil.

De manière exceptionnelle, des instruments furent inventés. Telle la machine à vent. Mais au quotidien, les compositeurs créaient pour les instruments d’orchestre. Qui existaient déjà.

Pour les orages, c’est facile : roulement de tambour puis bam ! Boum ! Les tympans vrillent. Les cordes, elles, sont en double croches et à la corde. Les coups d’archet sont secs. Les violons arpègent au moment du déluge. Les vents (trompettes, clarinettes, hautbois) sont assourdissants.

La pluie tombe… quelques gouttes, rafraîchissantes, de piano : Debussy.

Et le soleil ? C’est plus compliqué car l’astre est silencieux. Alors, les compositeurs lui rendent hommage en célébrant ses bienfaits : notre humeur joyeuse, le chant des oiseaux , les séjours à la mer , les voyages dans des pays lointains, les balades en forêt sans oublier, bien sûr , les affres de l’amour !

Il reste, bien sûr, tant à dire ! Nous y reviendrons , c’est promis.

En attendant, prenez bien soin de vous. 🙂

4 commentaires sur « Les lieder du climat »

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