Un dimanche, une oeuvre : « Le banquet céleste » Messiaen

1926. Olivier Messiaen a 16 ans. Le jeune élève du Conservatoire National de Musique de Paris étudie le piano , l’harmonie, l’orgue, l’improvisation et l’orchestration. Olivier Messiaen, suscite l’admiration de ses professeurs et accumule les récompenses. Il se passionne aussi pour les saintes écritures. Et se dit synesthète .

En 1926, Olivier Messiaen obtient un premier prix de fugue et de contrepoint(*). Il compose aussi, en quête de nouvelles sonorités.

« Le banquet céleste » est sa première oeuvre importante. Surprenante et déroutante avec, pendant plus de 7 minutes, des accords dissonants faisant vibrer l’instrument. Puissantes, les harmonies s’élèvent. Envoûtant, l’orgue se saisit de l’espace et de nos sens. Avec Messiaen, nous remontons vers la Lumière.

Ecoutons Daniel Ficarri, organiste concertiste, en la cathédrale St John The Divine à New York. Qu’en pensez-vous ? Hâte de lire vos commentaires !


(*) Le contrepoint est un style de musique issu du Moyen-Âge, qui consiste à superposer plusieurs lignes mélodiques distinctes . Mais ces lignes doivent rester le moins éloignées possibles et leur superposition, obéir à des règles. Le canon est une forme de contrepoint.

3 commentaires sur « Un dimanche, une oeuvre : « Le banquet céleste » Messiaen »

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